Il faut savoir
Foi o meu primeiro concerto na Bélgica. Grande senhor da música francesa que, também eu, aprendi a amar. Com momentos daqui e daí, continuamos em paralelo...
Charles Aznavour canta assim:
Il faut savoir encore sourire
Quand le meilleur s'est retiré
Et qu'il ne reste que le pire
Dans une vie bête à pleurer
Il faut savoir, coûte que coûte
Garder toute sa dignité
Et malgré ce qu'il nous en coûte
S'en aller sans se retourner
Face au destin qui nous désarme
Et devant le bonheur perdu
Il faut savoir cacher ses larmes
Mais moi, mon cœur, je n'ai pas su
Il faut savoir quitter la table
Lorsque l'amour est desservi
Sans s'accrocher l'air pitoyable
Mais partir sans faire de bruit
Il faut savoir cacher sa peine
Sous le masque de tous les jours
Et retenir les cris de haine
Qui sont les derniers mots d'amour
Il faut savoir rester de glace
Et taire un cœur qui meurt déjà
Il faut savoir garder la face
Mais moi, mon cœur, je t'aime trop
Mais moi, je ne peux pas
Il faut savoir mais moi
Je ne sais pas...
Quem sabe, afinal?
Charles Aznavour canta assim:
Il faut savoir encore sourire
Quand le meilleur s'est retiré
Et qu'il ne reste que le pire
Dans une vie bête à pleurer
Il faut savoir, coûte que coûte
Garder toute sa dignité
Et malgré ce qu'il nous en coûte
S'en aller sans se retourner
Face au destin qui nous désarme
Et devant le bonheur perdu
Il faut savoir cacher ses larmes
Mais moi, mon cœur, je n'ai pas su
Il faut savoir quitter la table
Lorsque l'amour est desservi
Sans s'accrocher l'air pitoyable
Mais partir sans faire de bruit
Il faut savoir cacher sa peine
Sous le masque de tous les jours
Et retenir les cris de haine
Qui sont les derniers mots d'amour
Il faut savoir rester de glace
Et taire un cœur qui meurt déjà
Il faut savoir garder la face
Mais moi, mon cœur, je t'aime trop
Mais moi, je ne peux pas
Il faut savoir mais moi
Je ne sais pas...
Quem sabe, afinal?
escrito por Lígia Mendes às 5:36 da tarde
2 Comments:
O primeiro grande concerto dirás tu... porque relembro como se fosse há minutos um concerto que assistimos na Grand Place há dois anos...
Ou mesmo o "concerto" da meia final do Euro com a Holanda na Place Flage....
Claro que nenhum teve a sapiencia do
"Face au destin qui nous désarme
Et devant le bonheur perdu
Il faut savoir cacher ses larmes
Mais moi, mon cœur, je n'ai pas su"
Escondemos as lágrimas... mas nunca o coração...
Dois anos? Meu Deus, como o tempo passa! O que melhor me recordo desses momentos partilhados contigo é aquela sensação de querer mostrar-te tudo, aquele desejo de fazer-te ficar aqui, junto de mim. E, depois, o vazio, ao ver-te partir... Deus estava lá, como sabes, mas doeu tanto...
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